Ma vraie Nature

Paroles à méditer...


PATIENCE... PATIENCE

“On a besoin de patience avec tout le monde, mais particulièrement avec soi-même.”


Saint François de Sales

 

Patience pour se connaître
Patience pour s'accepter
Patience pour se pardonner
Patience pour s'aimer

 

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28/01/2015
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VOTRE VRAIE NATURE

 

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“VOTRE VRAIE NATURE est tranquillité, lumière, déploiement sans périphérie ni centre.

C'est l'être non-conditionné, c'est l'amour.”


Jean Klein

INCONTOURNABLE citation pour un blog nommé MA VRAIE NATURE ;-)


28/01/2015
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Etre fermement installé dans la non-violence

 

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"Ce qui est fermement installé dans la non-violence abolit toute réaction d'agressivité autour de lui."

 

Yoga-sūtra de Patanjali


25/01/2015
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Se changer soi-même

"Dans le pouvoir de se changer soi-même existe le pouvoir de changer le monde autour de vous."

Anouar el-Sadate


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24/01/2015
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Septembre par Eileen Caddy

 

 

Il me fut montré un puits profond, sombre.
En haut du puits il y avait un seau
auquel était attachée une corde.
Je vis qu'on descendait le seau dans le puits
et quand il fut tiré de l'obscurité,
il était remmpli à ras bord d'eau claire et pure.


J'entendis les mots :

" Au fond de chaque âme se trouve la pureté
de l'esprit. Prends du temps pour la chercher
jusqu'à ce que tu la trouves,
et puis fais-la émerger. "

Eillen Caddy

Pensée de septembre - "La petite voix"


01/09/2011
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Tu seras un Homme, mon fils

 
Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie
Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,
Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir,
Si tu peux être amant sans être fou d’amour ;
Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre
Et , te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre ;

Si tu peux supporter d’entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles,
Sans mentir toi-même d’un mot ;
Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les Rois
Et si tu peux aimer tous tes amis en frères,
Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ;

Si tu sais méditer, observer et connaître,
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur
Rêver, sans laisser ton rêve être ton maître,
Penser, sans n’être qu’un penseur ;
Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu peux être bon, si tu sais être sage,
Sans être moral ni pédant ;

Si tu peux rencontrer triomphe après défaite
Et recevoir ces deux menteurs d’un même front,
Si tu peux conserver ton courage et ta tête
Quand tous les autres les perdront ;
Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire
Seront à tout jamais tes esclaves soumis
Et, ce qui vaut bien mieux que les Rois et la Gloire,

Tu seras un Homme, mon fils.

Rudyard KIPLING

 

Très émue à l'écoute de ce texte merveilleusement dit par I Muvrini et Grand Corps Malade

 


26/08/2011
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Commencer par s'aimer soi-même

 

 

L'amour doit commencer vis-à-vis de soi

et c'est ce qui nous fait le plus défaut !

 

" C'est le travers de l'humanité toute entière depuis des temps immémoriaux. Nous sommes incapables de reconnaître et d'accepter notre nature telle que nous la vivons, nous avons beaucoup de mal à nous supporter. Nous voulons donner de nous une image pieuse, en oubliant ce qui est négatif et limitatif, en ignorant les actions et les expressions néfastes dont nous sommes responsables... L'inversion de ce processus nécessite un haut niveau d'attention et de conscience et la réalisation de sa propre nature.

Nous devons nous ouvrir si nous voulons goûter à l'harmonie de l'existence. Et pour que cette ouverture devienne complète, il faut savoir s'accepter complètement sur la base d'une analyse convenable de nos qualités, de nos faiblesses et de nos forces."

Citation de Swami Niranjanananda dans le livre Yoga Darshan

 


01/07/2011
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Les trois portes de la sagesse

 

Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince courageux, habile et intelligent. Pour
parfaire son apprentissage de la Vie, il l'envoya auprès d'un Vieux Sage.
- Éclaire-moi sur le Chemin de la Vie, demanda le Prince.
- Mes paroles s'évanouiront comme les traces de tes pas dans le sable, répondit le
Sage. Cependant je veux bien te donner quelques indications. Sur ta route, tu trouveras
trois portes. Lis les préceptes inscrits sur chacune d'elles. Un besoin irrésistible te
poussera à les suivre. Ne cherche pas à t'en détourner, car tu serais condamné à revivre
sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis t'en dire plus. Tu dois éprouver tout cela
dans ton coeur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis cette route, droit devant toi.
Le Vieux Sage disparut et le Prince s'engagea sur le Chemin de la Vie. Il se trouva
bientôt face à une grande porte sur laquelle on pouvait lire:

"Change le Monde." 

C'était bien là mon intention, pensa le Prince, car si certaines choses me plaisent dans
ce monde, d'autres ne me conviennent pas.
Et il entama son premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur le poussèrent à se
confronter au monde, à entreprendre, à conquérir, à modeler la réalité selon son désir. Il
y trouva le plaisir et l'ivresse du conquérant, mais pas l'apaisement du coeur. Il réussit
à changer certaines choses, mais beaucoup d'autres lui résistèrent.
Bien des années passèrent. Un jour, il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda:
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon pouvoir et ce qui
m'échappe, ce qui dépend de moi et ce qui n'en dépend pas.
- C'est bien, dit le Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce qui est en ton
pouvoir. Oublie ce qui échappe à ton emprise. Et il disparut.
Peu après, le Prince se trouva face à une seconde porte. On pouvait y lire:

"Change les Autres." 

- C'était bien là mon intention, pensa-t-il . Les autres sont source de plaisir, de joie et
de satisfaction mais aussi de douleur, d'amertume et de frustration. Et il s'insurgea
contre tout ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez ses semblables. Il chercha à
infléchir leur caractère et à extirper leurs défauts. Ce fut là son deuxième combat.
Bien des années passèrent.Un jour, alors qu'il méditait sur l'inutilité de ses tentatives de vouloir changer les
autres, il croisa le Vieux Sage qui lui demanda:
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, répondit le Prince, que les autres ne sont pas la cause ou la source de mes
joies et de mes peines, de mes satisfactions et de mes déboires. Ils n'en sont que le
révélateur ou l'occasion. C'est en moi que prennent racine toutes ces choses.
    Tu as raison, dit le Sage. Par ce qu'ils réveillent en toi, les autres te révèlent à toi-même. Sois
reconnaissant envers ceux qui font vibrer en toi joie et plaisir. Mais sois-le
aussi envers ceux qui font naître en toi souffrance ou frustration, car à travers eux la
Vie t'enseigne ce qui te reste à apprendre et le chemin que tu dois encore parcourir.
Et le Vieil Homme disparut. Peu après, le Prince arriva devant une porte où figuraient
ces mots:

"Change-toi toi-même."
 
Si je suis moi-même la cause de mes problèmes, c'est bien ce qui me reste à faire, se
dit-il. Et il entama son troisième combat. Il chercha à infléchir son caractère, à
combattre ses imperfections, à supprimer ses défauts, à changer tout ce qui ne lui
plaisait pas en lui, tout ce qui ne correspondait pas à son idéal.
Après bien des années de ce combat où il connut quelque succès mais aussi des échecs
et des résistances, le Prince rencontra le Sage qui lui demanda:
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, répondit le Prince, qu'il y a en nous des choses qu'on peut améliorer,
d'autres qui nous résistent et qu'on n'arrive pas à briser.
- C'est bien, dit le Sage.
- Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à être las de me battre contre tout,
contre tous, contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais ? Quand trouverai-je le repos ?
J'ai envie de cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner, de lâcher prise.
- C'est justement ton prochain apprentissage, dit le Vieux Sage. Mais avant d'aller plus
loin, retourne-toi et contemple le chemin parcouru. Et il disparut.
Regardant en arrière, le Prince vit dans le lointain la troisième porte et s'aperçut
qu'elle portait sur sa face arrière une inscription qui disait:

"Accepte-toi toi-même." 

Le Prince s'étonna de ne point avoir vu cette inscription lorsqu'il avait franchi la porte
la première fois, dans l'autre sens.- Quand on combat, on devient aveugle se dit-il.
Il vit aussi, gisant sur le sol, éparpillé autour de lui, tout ce qu'il avait rejeté et
combattu en lui: ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites, tous ses vieux démons.
Il apprit alors à les reconnaître, à les accepter, à les aimer. Il apprit à s'aimer luimême sans plus se
comparer, se juger, se blâmer.
Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda:
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, répondit le Prince, que détester ou refuser une partie de moi, c'est me
condamner à ne jamais être en accord avec moi-même. J'ai appris à m'accepter moimême, totalement,
inconditionnellement.
- C'est bien, dit le Vieil Homme, c'est la première Sagesse. Maintenant tu peux
repasser la troisième porte.
À peine arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut au loin la face arrière de la seconde
porte et y lut:

"Accepte les Autres." 

Tout autour de lui il reconnut les personnes qu'il avait côtoyées dans sa vie. Celles qu'il
avait aimées et celles qu'il avait détestées. Celles qu'il avait soutenues et celles qu'il
avait combattues. Mais à sa grande surprise, il était maintenant incapable de voir leurs
imperfections, leurs défauts, ce qui autrefois l'avait tellement gêné et contre quoi il
s'était battu.
Il rencontra à nouveau le Vieux Sage.
- Qu'as-tu appris sur le chemin ? demanda ce dernier.
- J'ai appris, répondit le Prince, qu'en étant en accord avec moi-même, je n'avais plus
rien à reprocher aux autres, plus rien à craindre d'eux. J'ai appris à accepter et à
aimer les autres totalement, inconditionnellement.
- C'est bien, dit le Vieux Sage. C'est la seconde Sagesse. Tu peux franchir à nouveau la
deuxième porte. Arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut la face arrière de la première
porte et y lut:

"Accepte  le Monde."
 
Curieux, se dit-il, que je n'aie pas vu cette inscription la première fois. Il regarda
autour de lui et reconnut ce monde qu'il avait cherché à conquérir, à transformer, à
changer. Il fut frappé par l'éclat et la beauté de toute chose. Par leur Perfection.
C'était pourtant le même monde qu'autrefois. Était-ce le monde qui avait changé ou son
regard ?Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda:
- Qu'as-tu appris sur le chemin ?
- J'ai appris, dit le Prince, que le monde est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit
pas le monde, elle se voit dans le monde. Quand elle est enjouée, le monde lui semble
gai. Quand elle est accablée, le monde lui semble triste. Le monde, lui, n'est ni triste ni
gai. Il est là, il existe, c'est tout. Ce n'était pas le monde qui me troublait, mais l'idée
que je m'en faisais. J'ai appris à l'accepter sans le juger, totalement,
inconditionnellement.
- C'est la troisième Sagesse, dit le Vieil Homme. Te voilà à présent en accord avec toi-même, avec les
autres et avec le Monde.
Un profond sentiment de Paix, de Sérénité, de Plénitude envahit le Prince. Le Silence
l'habita.
- Tu es prêt, maintenant, à franchir le Dernier Seuil, dit le Vieux Sage, celui du passage
du Silence de la Plénitude à la Plénitude du Silence.
Et le Vieil Homme disparut.

01/07/2011
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Arbres & vent

 

 

« Sans les arbres dans lesquels il joue, le vent resterait invisible. »



Christiane SINGER


17/06/2011
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Contempler la nature

 
"Contempler la nature et se laisser envahir par le sentiment d'émerveillement que la beauté fait naître en nous est une expérience qui nous transporte parfois littéralement hors de nous. Avons-nous seulement conscience que cette beauté est partout ? Rien n'est laid dans la nature. La laideur appartient au seul monde humain. Cette beauté nous est offerte gratuitement, alors que certains payent des fortunes pour acquérir des oeuvres d'art qui sont parfois d'une laideur sidérante. Savons-nous ouvrir nos yeux, ouvrir notre coeur, pour déceler la beauté autour de nous, devant un simple coucher de soleil ou un rayon de lumière qui traverse les feuilles d'un arbre ? Mais aussi devant le sourire d'un enfant ou le visage d'un vieillard ? En marchant dans une ville, au détour d'une rue, devant une belle porte ? Savons-nous nous laisser émouvoir par un regard, par une harmonie musicale qui peut bouleverser notre vie intérieure ?"
                                                 
Frédéric Lenoir, Petit traité de vie intérieure
 
Après quelques jours passés sur le Chemin de St Jacques de Compostelle à cheminer sans considération de temps, ni de but, au coeur de la nature, en osmose avec les éléments, ces paroles prennent encore plus de sens !
Vivre ces expériences au quotidien est notre plus grande richese !

03/05/2011
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Conte africain

 

Un roi africain avait un ami d'enfance qui était très proche de lui. Cet ami avait une habitude curieuse : quel que soit l'événement qui lui arrivait dans la vie, positif ou négatif, il disait toujours : tout est grâce !

Un jour, le roi et son ami partirent à la chasse. Son ami prépara les fusils pour le roi. Mais il fit sans doute une bêtise, car un des fusils explosa dans les mains du roi et le priva de son pouce.

Au moment où cet accident arriva, l'ami dit, comme d'habitude, "Tout est grâce!".

A cela le roi, qui était vraiment en colère, lui répondit
"Non, il n'y a aucune grâce en cela" et en donna la preuve à son ami en le jetant en prison.

Un an plus tard, le roi allait chasser hors de son royaume et des cannibales le capturèrent et le firent prisonnier dans leur village.

Ils l'attachèrent à un tronc d'arbre, mirent du bois autour de lui, et s'apprêtèrent à le faire griller vif pour le manger ...

Mais, au moment où ils allaient mettre le feu, ils s'aperçurent qu'il lui manquait un pouce. Une de leurs croyances étant qu'en le mangeant, il leur arriverait la même chose, alors ils détachèrent le roi et le laissèrent partir.

Sur le chemin du retour, exténué, choqué, il se souvint des circonstances dans lesquelles il avait perdu son pouce.

A peine arrivé, il se fit conduire à la prison pour parler à son ami.
"Tu avais raison, mon ami, dit-il, c'était une grâce que je perde mon pouce."

Et il raconta alors à son a
mi ce qui lui était arrivé.
"Je te supplie de me pardonner de t'avoir laissé croupir en prison pendant si longtemps. C'était mal de ma part de t'avoir fait cela."

Son ami lui répondit :
"Mais non, au contraire tout est grâce !
- Qu'est-ce que tu veux dire? Comment le fait de te jeter en prison, toi, mon ami, pourrait-il être une grâce ?
-
En fait, si je n'avais pas été en prison j'aurais été avec toi. Et ils m'auraient mangé."

Ce qui nous arrive dans la vie ne semble pas toujours avoir de sens. Mais parfois, ce que nous jugeons sur le moment négatif peut s'avérer être plus tard une bénédiction...

Source : http://www.clown.asso.fr/LD-CLOWN/LD-CLOWN_D.htm


06/01/2011
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Voeux originaux



Pourquoi vous souhaiter une année tranquille, confortable, douillette et sans soucis, une année béate de vie facile ? Non ! Je vous souhaite :

- quelques petits rhumes qui rendent les yeux larmoyants et la vue brouillée juste pour redécouvrir la joie de s'émerveiller en regardant le sourire d'un enfant.....

- quelques jours de nez bouché juste pour retrouver le bonheur de respirer la senteur d'une fleur...

- quelques  heures de retard juste pour se souvenir que l'attente d'un être aimé fait battre le coeur plus fort.

- quelques rencontres désagréables juste pour réaliser à quel point l'amabilité, le sourire et la politesse sont bienfaisant à ceux qui les reçoivent et enrichissent ceux qui les offrent.

- quelques jours de tristesse et de découragement juste pour rechercher et trouver la joie de vivre

- quelques jours de pluies pour voir briller les feuilles des arbres, sentir l'humus qui est le corps de notre Terre Mère et jouir à nouveau d'une journée ensoleillée.

- quelques pannes d'électricité juste pour voir le temps d'un soir un doux regard pétillant des flammes de la lueur des chandelles

- quelques maladresses dûes à l'ignorance juste pour comprendre l'utilité et la satisfaction d'apprendre

- quelques jours de jeûne volontaire ou pas, juste pour savourer avec délice une tranche de pain croustillante....

- quelques jour de lassitudes de vivre juste pour s'apercevoir que le seul fait d'exister est merveilleux....


Je vous souhaites de tout mon coeur de participer a la vie,

à la Joie d'exister, d'être présent et en conscience d'être

un participant actif à cette Vie qui résonne en Vous

jusqu'au plus profond de Vous et autour de Vous......

et prenez le temps de regarder le vol joyeux des oiseaux !!!!!


Marie-Odile - Méditation France, vendredi 31 décembre 2010, 12:54

 


06/01/2011
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Le jour où je me suis aimé pour de vrai

 



Le jour où je me suis aimé pour vrai,
j'ai compris qu'en toutes circonstances, j'étais à la bonne place, au bon moment.
Et, alors, j'ai pu me relaxer.
Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle ...
Estime de soi.

Le jour où je me suis aimé pour vrai,
j'ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle
n'étaient rien d'autre qu'un signal quand je vais contre mes convictions.
Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle ...
Authenticité.

Le jour où je me suis aimé pour vrai,
j'ai cessé de vouloir une vie différente
et j'ai commencé à voir que tout ce qui m'arrive contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle ...
Maturité.

Le jour où je me suis aimé pour vrai,
j'ai commencé à percevoir l'abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne,
dans le seul but d'obtenir ce que je veux,
sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts
et que ce n'est pas le moment.
Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle ...
Respect.

Le jour où je me suis aimé pour vrai,
j'ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m'était pas salutaire... Personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie.
Au début, ma raison appelait ça de l'égoïsme.
Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle ...
Amour Propre.

Le jour où je me suis aimé pour vrai,
j'ai cessé d'avoir peur du temps libre et j'ai arrêté de faire de grands plans,
j'ai abandonné les mégaprojets du futur.
Aujourd'hui, je fais ce qui est correct, ce que j'aime,
quand ça me plaît et à mon rythme.
Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle ...
Simplicité.

Le jour où je me suis aimé pour vrai,
j'ai cessé de chercher à toujours avoir raison,
et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.
Aujourd'hui, j'ai découvert ...
L'humilité.

Le jour où je me suis aimé pour vrai,
j'ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l'avenir.
Aujourd'hui, je vis une seule journée à la fois.
Et ça s'appelle ...
Plénitude.

Le jour où je me suis aimé pour vrai,
j'ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir.
Mais si je la met au service de mon cœur,
elle devient un allié très précieux.
Tout ceci est ...
Savoir vivre.

Charles Chaplin


03/01/2011
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Compensations... pièges...

 
« Nos compensations sont des coupe-faim qui ne rassasient pas. »

Thomas d'ANSEMBOURG
 
 

19/11/2010
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Gestion du bonheur

 

"Personne n'est propriétaire du bonheur, on a parfois la chance

d'avoir un bail, et d'en être locataire.

Il faut être très régulier sur le paiement de ses loyers,

 on se fait exproprier très vite.

 

Marc Levy
Extrait de Et si c'était vrai...


17/10/2010
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